Plusieurs sources ont tari à Figuig, contraignant les agriculteurs de l’oasis à abandonner plusieurs cultures pour préserver le palmier. L’agriculture vivrière et la qualité des dattes en pâtissent par conséquence.
Les ksour de Tafilalet ne sont pas suffisamment raccordés au réseau d’assainissement et utilisent des fosses septiques. La technologie offre cependant une solution à ce problème qui s’accentue avec la sécheresse.
L’axe Meski-Boudnib nécessitera annuellement une quantité colossale d’eau d’irrigation, qui correspondrait au tiers des réserves aquifères de Tafilalet. 8 000 hectares de palmiers-dattiers ont été plantés dans ce périmètre.